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Dans les années 1950, la Ville de Liège, encore meurtrie par les dégâts causés par la Seconde Guerre mondiale, voit son paysage urbain évoluer de manière significative. Les clichés réalisés au cours de cette décennie témoignent des multiples facettes de la ville à l’époque, que ce soit les habitations insalubres, la création de nouveaux logements, le réaménagement des rues, l’adaptation de la ville à la voiture, les chantiers d'infrastructure, les nouveaux parcs ou autres grands projets urbanistiques. Grâce aux nombreux clichés collectés dans de précieux fonds d’archives, Liège années 1950. Le paysage urbain et son évolution en 300 photographies d’époque offre aux amoureux de la Cité ardente un voyage dans le passé, à la découverte des transformations qui ont rythmé la vie urbaine liégeoise au milieu du 20e siècle.

Paysage urbain

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En quête d'espace, la ville s'étale ou s'élève en même temps que les infrastructures de transport s'allongent et s'épandent. Irrépressible, l'étalement urbain a besoin de place, et ce au détriment de terres agricoles qui subviennent pourtant à son autonomie alimentaire. Le projet se déroule sur la commune de Toulouse par-dessus l'autoroute A620, encaissée de 7m à 11m de profondeur sur 2km20. L'objectif est de repenser la plaie ouverte comme un nouveau sol dans la ville sur lequel un parc linéaire reconvoque la mobilité active des usagers. L'espace de circulation doit s'adresser en tout lieu aux piétons, cyclistes, personnes à mobilité réduite, skates, rollers, et autres glisseurs. Tout en faisant coexister voitures et transports publics. Le mouvement est nécessaire à la ville. Sans mou¬vement, il n'y a pas d'échange. Il a été ici question de densifier l'habitat autour de nouveaux lieux de connexion et de tran¬sition modale. Le linéaire de l'autoroute reporté en surface est donc ponctué par 2 haltes (train et tram) avant de terminer sa course sur l'un des emblèmes du canal du Midi ; le pont-canal des Herbettes, lequel devient la façade d'un skatepark creusé dans la toiture du tunnel. La scé¬nographie urbaine est inversée, les entrées et sorties du tunnel ont pour seuil le canal du Midi et la liaison ferroviaire. Au cours du projet, la proposi¬tion a établi un passage d'un autre ordre ; un système de lien entre espaces verts d'une autre échelle. Ce passage créé avec le tunnel de l'A620 se fait corridor écologique. Une liaison trans-versale restructurant la maille d'un continuum biologique. En réalisant ces connexions, des continuités paysagères se des¬sinent, l'infrastructure de trans¬port devient au final support d'un lieu entre ville et nature, entre lieux de loisirs et milieux habités par faune et flore qui peuvent se déplacer aussi libre¬ment d'un territoire à l'autre. En quelques lignes la ville se dessine, les tracés autoroutiers inadaptés aux lieux traversés peuvent être recalibrés, et le re¬gard renversé. Ainsi les lieux de passage deviennent aussi lieux de destination.

Paysage --- Route --- Transport

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Whether emulating the geological formations and dense birch forests of his home state of Minnesota or abstracting agricultural and historical patterns across the Midwest and beyond, Shane Coen is a leading proponent of a new modern American landscape design that features geometric forms, local materials, and a sensitivity to the environment. Coen+Partners pursues "contextual minimalism" in both the public and private realms, with projects as diverse as home gardens, a public library, a churchyard, urban parks and civic plazas, and a border land entry station. Shaping local landscapes as well as sites farther afield, in Arizona, California, and Louisiana, and as far away as Singapore and Saudi Arabia, Coen's powerful designs are rooted in place and steeped in connection and calm.

Architecture du paysage --- Paysage urbain --- Architecture. --- Coen + Partners

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L'ensemble de mon travail de recherches porte sur le thème du commun dans l'architecture et plus précisément sur son amplification à la suite d'une déprise économique. Tout au long des siècles, une des réactions de l'homme face à une faiblesse économique ou une perte de ressources se résulte par le commun. Ceci a marqué l'architecture. L'être humain étant «bigarré» entre l'individuel et le collectif, il nécessite un équilibre entre l'appartenance à un groupe et le détachement personnel. La problématique qui s'opère aujourd'hui est que le système économique dans lequel nous vivons, bien qu'il ait évolué, favorise la réussite personnelle. Ainsi, il altère l'équilibre entre l'individuel et le collectif. Mon projet porte sur le village de Vaulx, où les habitants développent une multitude d'espaces communs. Ce village est situé dans l'ancien bassin carrier du Tournaisis et fonctionne dans une organisation de quatre entités urbaines : Allain, Chercq, le Faubourg de Valenciennes et Vaulx. Ces quatre agglomérations se sont développées aux bords du lit majeur de l'Escaut. Durant la période industrielle, les villages furent privés du fleuve par l'industrie qui s'en servait comme voie commerciale. Cette rupture des villages avec l'Escaut fut accentuée à partir des années 1960, lorsque l'autoroute fut bâtie. En réaction à cette perte d'activités, de nouveaux espaces communs sur le territoire apparaissent. Le projet que je propose s'appuie sur l'ensemble de mon travail révélateur de cette dynamique. L'objectif est de créer de nouveaux liens des villages vers l'Escaut où viendront se greffer de nouveaux espaces communs au service des habitants. Cette nouvelle organisation architecturale va suggérer une «reconquête de l'Escaut par le commun», J'aboutis ce travail par la définition et l'implantation de la nouvelle maison commune de Vaulx. Elle est le fruit d'une demande locale, émise par le comité.

Histoire --- Ecologie --- Bassin --- Paysage --- Tournai

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"The Routledge Research Companion to Landscape Architecture considers landscape architecture's increasingly important cultural, aesthetic and ecological role today. The volume reflects topical concerns in theoretical, historical, philosophical and practice-related research in landscape architecture - research that reflects our relationship with what has traditionally been called 'nature'. It does so at a time when questions about the use of global resources and understanding the links between human and non-human worlds are more crucial than ever. The twenty-five chapters of this edited collection bring together significant positions in current landscape architecture research under five broad themes - History, Sites and Heritage, City and Nature, Ethics and Sustainability, Knowledge and Practice - supplemented with a discussion of landscape architecture education. Prominent contributors from landscape architecture and adjacent fields including Tom Avermaete, Jane Wolff, Gareth Doherty, Matthew Gandy, Christophe Girot, Ottmar Ette and Anne Whiston Spirn, as well as up-and-coming researchers, seek to widen, fuel and frame critical discussion in this growing area. They do so by investigating recurrent motifs as well as slippages and ruptures in the historical development of landscape architecture and by paying particular attention to current concerns. A significant contribution to landscape architecture research, this book will be beneficial not only to students and academics in landscape architecture, but also to scholars in related fields such as history, architecture and social studies"--

Landscape architecture --- Architecture du paysage